Takuma MORISHIGE – Séki, mon voisin de classe, tome 1

séki1Titre original : Tonari no Seki-kun (2011)
Date de sortie : 27/08/2015
Editions : Akata
Collection : S
ISBN : 236974068X
Nbr de pages : 160
Prix constaté : 7.95€

Pour lire un extrait, c’est ici !

Résumé :
Rumi est une élève studieuse et sérieuse… Mais elle a un GROS problème ! Son problème, c’est Séki ! C’est qui ? Ben, Séki, son voisin de classe ! Cet énergunème aussi stoïque que génial passe son temps à… tuer le temps ! Parce que les cours, c’est vraiment pas son truc. Alors il préfère bricoler, s’amuser, découper, inventer… faire tout ce qui lui passe par la tête sur son bureau, qui se transforme alors en véritable table d’expérimentations ! Difficile alors, pour la pauvre lycéenne, de rester concentrée, alors que son voisin s’agite dans tous les sens, sans jamais se faire prendre par les professeurs. Le pire dans tout ça, c’est que quand l’imagination de Séki déborde « un peu » trop, c’est toujours sur elle que ça retombe… pour le plus grand plaisir des lecteurs !!

Impressions :
Point tombée sous le charme de Séki, cet hurluberlu qui invente de nouvelles manières récréatives de passer le temps en classe. Il ne ménage pourtant pas sa peine dans ce premier tome avec des batailles de shogi, de création d’origamis ou encore d’atelier de couture ultra kawaï. Et tout ça pendant les cours, parce que bon, c’est bien connu, écouter le prof en classe, c’est d’un chiant… (non, ce n’est pas moi qui le pense, mais Séki ma bonne dame).

  Ce nouveau manga de Takuma Morishige publié chez Akata est un petit phénomène au Japon avec une adaptation en anime qui a connu un joli succès. «Séki mon voisin de classe » fait partie de ces MDNI (comprenez mangas délirants non identifiés) qu’on adore ou qui nous laisse complètement indifférent. Voire pantois. Voire navré. Dans mon cas, je me suis juste sentie hors du coup car les enchainements de ce trublion de Séki ne m’ont fait ni chaud ni froid. Je n’ai pas ri, je n’ai pas trouvé ça mauvais non plus. Mais je ne suis pas rentrée dans le délire du mangaka.

  Les chapitres courts passent d’une idée de Séki à une autre, le personnage central étant « épaulé » de Rumi, la voisine malchanceuse de celui-ci qui doit subir ses délires au point de plus rien suivre en classe. Les différentes distractions de cet élève dissipé sont bien souvent liées à des jeux typiquement japonais, ce qui n’aide pas le lecteur français à s’attacher à ses facéties. Les cases sont dynamiques, le mangaka allant à l’essentiel, sans s’encombrer de développer une intrigue, puisque l’intérêt du manga réside dans son caractère de saynètes. Le trait est agréable, un peu passe-partout, typique du genre. Bref, c’est à tester pour savoir si on aime… ou pas.

Verdict : Pas ma tasse de thé

pas-ma-tasse-de-thé

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