Titre original : Dame na watashi ni koishite kudasai
Date de parution : 18/11/015
Editions : Delcourt
ISBn : 978-2-7560-6863-3
Nbr de pages : 184
Prix constaté : 6.99€
Résumé :
Michiko se retrouve, à 29 ans, dans une situation bien délicate. Sa société vient de faire faillite et c’est sans le moindre revenu qu’elle continue d’entretenir son jeune amant encore étudiant. C’est dans cette situation complètement désespérée qu’elle va rencontrer par hasard Kurosawa, son ancien chef qu’elle détestait plus que tout. Ces retrouvailles pourraient bien bouleverser le cours de sa vie.
Impressions :
Ce second tome de « Please love me ! » est toujours aussi drôle et aussi frais. Même si le chemin pour que Shibata s’affirme semble encore long, elle peut désormais compter sur quelques amis pour la sortir du pétrin. Le personnage d’Akira, l’antithèse de notre héroïne, forte et vindicative, me plait de plus en plus. J’espère que la mangaka cultivera leur amitié pour la faire apparaitre plus souvent.
L’intrigue tournant autour du prétendu petit-ami de l’héroïne trouvant sa conclusion dans ce tome, Aya Nakahara choisit de développer un peu plus la relation entre Shibata et son patron. Sans surprise, c’est donc la romance qui prend le pas sur l’humour ici, avec les sentiments naissants de l’héroïne et l’arrivée d’une ancienne petite-amie du boss.
Si ça n’a rien de révolutionnaire dans le genre, la mangaka connait parfaitement toutes les ficelles du shôjo et on passe un bon moment en compagnie de Shibata et du patron. Les expressions des personnages sont toujours aussi amusantes, notamment quand l’héroïne fait la tronche (heureusement que le ridicule ne tue pas !). Côté mise en scène, on a le droit aux petites étoiles et aux fonds scintillants, mais dans les limites du raisonnable. Bref, de quoi passer un bon moment !
Verdict : Bonne pioche
Tagué:Comédie romantique, Delcourt, Humour, Oie blanche, Please love me !
J’apprécie également ce titre 🙂
Le tome 3 m’a fait mourir de rire 🙂 J’ai hâte de pouvoir lire le 4ème tome.